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Recherche par auteur : Istrati, Panaït

3 résultats.

Lu par : Jean Frey
Durée : 9h. 30min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18723
Résumé:«Toute une vie brûlée inutilement ! Sur toutes les routes, j'ai laissé des gouttes de sang, des lambeaux de chair et surtout des lambeaux de ma dignité. » Panaït Istrati, le Gorki des Balkans comme le surnommait Romain Rolland, aurait eu cent ans en 1984 et son éditeur, en cet honneur, a publié « ce volume de textes autobiographiques qui reconstituent sa vie de vagabond et d'écrivain. Ce sont des pages en grande partie inédites ou publiées dans la presse de l'époque, inconnues du lecteur d'aujourd'hui. » Ces textes sont rassemblés en cinq parties concernant, des documents autobiographiques, la naissance de l'écrivain, des témoignages sur la liberté, la foi, les arts, l'humanité, le pèlerin du coeur (des hommages rendus à des amis disparus) et pour finir « les dernières années », des textes en forme de testament ou de bilan sur sa vie d'errance et de quête.
Lu par : Anik Friederich
Durée : 2h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16457
Résumé:Gamin dans une petite ville roumaine le long du Danube, le narrateur rêve d'aventures et d'horizons lointains. Curieux et débrouillard, il découvre le monde à travers son Dictionnaire universel et travaille dans une taverne jusqu'au jour où les circonstances le poussent à quitter son pays. Il s'embarque alors en rêvant de la France... Anecdotes savoureuses et personnages hauts en couleur forment la trame des souvenirs de jeunesse de l'écrivain et aventurier Panaït Istrati.
Lu par : Hervé Detrey
Durée : 3h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16471
Résumé:" Noiraude et chevelue, pareille à une bohémienne. La grosse natte soigneusement tressée. Le visage - ovale, très sérieux, aux grands yeux perçants, aux lèvres charnues - était toujours bien lavé, comme les mains, les jambes et les pieds. Une orpheline... Venue depuis une année, Dieu sait d'où... Qui s'était toujours refusée à dire son nom et celui de ses parents... "Tout le monde à Braïla l'appelle sacadgitza, la porteuse d'eau, mais Marco, le narrateur amoureux, la surnommera Nerrantsoula, car elle sera pour lui sa petite orange amère, son petit bigaradier. Mais d'autres hommes convoitent l'orpheline...